Au Venezuela, on ne cesse de débattre des résultats chiffrés des politiques sociales, bien que cela importe peu aux pauvres qu’on les compte.
Pour les partisans du président Hugo Chávez, les statistiques sur l’éducation, la santé et la pauvreté montrent d’indéniables progrès. Pour ses détracteurs, ils ne sont pas fiables. Et pour la presse, l’opacité est reine.
Pendant ce temps, les agences internationales tentent de développer une façon d’évaluer les programmes sociaux créés par le gouvernement bolivarien.
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