CARACAS, SITUATION OUVERTE…

Chaussures produites dans une coopérative du NUDE Fabricio Ojeda, photo: Yannick Lacoste 2006

Par Bernard Chamayou

A propos du Vénézuela, on peut faire trois constatations simples mais fondamentales : c’est un pays où tout le monde peut manger à sa faim, gratuitement, où tout le monde peut se soigner, gratuitement, où tout le monde peut s’instruire, gratuitement.

Comment est-ce possible ? C’est au travers de l’analyse de la visite d’un quartier de Caracas que nous essaierons de répondre à cette question ; c’est à partir de là que nous nous poserons des problèmes plus généraux concernant le processus de la Révolution Bolivarienne. Ces interrogations sont posées de l’intérieur du processus, en solidarité profonde avec le peuple vénézuélien.

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